Demain, il aura 7 ans...
Il y a 7 ans, pile poil, les contractions commençaient à onduler la rondeur de mon ventre. Cela faisait presque 9 mois que je gardais au chaud (au creux de mon ventre) un petit être que je cajolais, que je câlinais et que j'aimais déjà plus fort que tout.
Le mercredi 16 avril 2008, quelques douleurs étrangement percutantes et lancinantes prenaient le contrôle de mon corps...et avec résignation, je m'attendais à mettre au monde mon bébé (que j'aurais bien gardé encore quelques jours auprès de moi). Chrono en main, les tiraillements se faisaient de plus en plus nombreux et rapprochés. La douleur était intense, mais je ne m'affolais pas pour autant. Accompagnée de ma mère et de ma meilleure amie, nous discutions ensemble dans le salon... en se demandant si c'était LE MOMENT.
Et puis vers 17h00, lorsque mon mari est rentré à la maison, les contractions se rapprochant, nous décidons de partir à la maternité, valise en main, pour LA GRANDE AVENTURE.
3 heures de monitoring, 3 heures de stress et d'excitation, 3 heures d'attente à la maison pour ma mère pour nous entendre dire que le col n'était pas suffisamment dilaté et qu'il faudrait revenir un jour prochain pour LE GRAND JOUR.
Nous sommes donc rentrés à la maison penauds et déçus de ne pas avoir fait la rencontre avec bébé.
De mon côté, je me souciais de savoir quelles étaient les sensations pour de "vraies contractions"...
Patience, tout arrive à point à qui sait attendre...
Le lendemain matin, je connaissais enfin le tiraillement féroce des "vraies contractions", des contractions qui annonçaient le travail, des contractions qui permettaient à ce foutu col de s'ouvrir pour libérer l'enfant qui allait naitre.
7 heures du mat', mon mari à peine réveillé fut interpellé par mes appels. Les contractions étaient régulières, rapprochées et contractaient mon ventre trop souvent pour que je reste à la maison. Nous devions partir de suite, toujours valise en main, sans même prendre le temps de quoique ce soit.
8h - 14h45 ... les contractions ont été violentes, sourdes, lancinantes au point que je ne disais plus mot. Mon mari me donnait à heures régulière les doses d'homéopathie prescrites...mais se contentait uniquement de cette ordonnance, et ne cherchait pas à entrer en contact avec moi. J'étais pétrifiée de douleur et me concentrais pour affronter le choc des contractions à répétition.
Jusqu'au moment où les sages-femmes ont décidé de me faire rentrer en salle de travail ... là, j'ai eu droit à la césarienne et au repos du corps, enfin ! La contraction était toujours là, mais sans la douleur. Enfin !
Aujourd'hui, 16 avril 2015, je n'en reviens pas de voir que mon bébé a bien grandit au point d'avoir 7 ans demain.
Un petit garçon qui devient un petit homme, qui finit son année de CP. Un petit mec avec un caractère bien trempé, bonnard, rigolo, plein d'humour, intelligent, vif et curieux...avec quand même quelques petits défauts qui font son charme.
Un petit gars qui grandit et lâche peu à peu notre main pour s'envoler et vivre sa vie.
Je n'en reviens pas. Le temps file et nous, parents, sommes les spectateurs de l'envolée de nos enfants. Nous les voyons grandir et n'avons pas d'autre choix que de les accompagner au mieux dans cette ascension fulgurante qu'est la vie.
Aujourd'hui, nous sommes à l'aube de ses 7 ans... et je me rends bien compte qu'il est grand à présent puisque je prépare d'arrache-pied ses 2 anniversaires entre potes. Un premier anniversaire ce samedi, entre mecs, pour faire du karting. Et un autre anniversaire dans 10 jours, une Pyjama Party mi boum mi animations diverses, cette fois avec des filles, histoire de faire le beau au milieu de son "harem".
Si ça, c'est pas avoir grandi, je n'y comprends plus rien. Un anniversaire entre mecs, parce qu'il a bien compris où est sa place. Et un autre anniversaire avec les filles...parce qu'il n'oublie pas de séduire et de plaire.
Il a donc 7 ans demain, et c'est un véritable plaisir "des yeux" de le voir grandir parce qu'il nous étonne chaque jour, il ravit notre quotidien et nous fait énormément marrer. Il est bien dans ses pompes et nous le prouve au quotidien. Quelle belle réussite ! Mais c'est une peine "du cœur" de le voir s'échapper un peu plus chaque jour...(mais ça, vous le savez déjà).
Et puis vers 17h00, lorsque mon mari est rentré à la maison, les contractions se rapprochant, nous décidons de partir à la maternité, valise en main, pour LA GRANDE AVENTURE.
3 heures de monitoring, 3 heures de stress et d'excitation, 3 heures d'attente à la maison pour ma mère pour nous entendre dire que le col n'était pas suffisamment dilaté et qu'il faudrait revenir un jour prochain pour LE GRAND JOUR.
Nous sommes donc rentrés à la maison penauds et déçus de ne pas avoir fait la rencontre avec bébé.
De mon côté, je me souciais de savoir quelles étaient les sensations pour de "vraies contractions"...
Patience, tout arrive à point à qui sait attendre...
Le lendemain matin, je connaissais enfin le tiraillement féroce des "vraies contractions", des contractions qui annonçaient le travail, des contractions qui permettaient à ce foutu col de s'ouvrir pour libérer l'enfant qui allait naitre.
7 heures du mat', mon mari à peine réveillé fut interpellé par mes appels. Les contractions étaient régulières, rapprochées et contractaient mon ventre trop souvent pour que je reste à la maison. Nous devions partir de suite, toujours valise en main, sans même prendre le temps de quoique ce soit.
8h - 14h45 ... les contractions ont été violentes, sourdes, lancinantes au point que je ne disais plus mot. Mon mari me donnait à heures régulière les doses d'homéopathie prescrites...mais se contentait uniquement de cette ordonnance, et ne cherchait pas à entrer en contact avec moi. J'étais pétrifiée de douleur et me concentrais pour affronter le choc des contractions à répétition.
Jusqu'au moment où les sages-femmes ont décidé de me faire rentrer en salle de travail ... là, j'ai eu droit à la césarienne et au repos du corps, enfin ! La contraction était toujours là, mais sans la douleur. Enfin !
A 14h51...le jeudi 17 avril 2008... je donnais naissance à Enzo, 2kgs810 et 50 cm... pendant que son père était parti dans les choux, trop bousculé par l'arrivée de son bébé.
Aujourd'hui, 16 avril 2015, je n'en reviens pas de voir que mon bébé a bien grandit au point d'avoir 7 ans demain.
Un petit garçon qui devient un petit homme, qui finit son année de CP. Un petit mec avec un caractère bien trempé, bonnard, rigolo, plein d'humour, intelligent, vif et curieux...avec quand même quelques petits défauts qui font son charme.
Un petit gars qui grandit et lâche peu à peu notre main pour s'envoler et vivre sa vie.
Et dire que demain il a 7 ans!
Aujourd'hui, nous sommes à l'aube de ses 7 ans... et je me rends bien compte qu'il est grand à présent puisque je prépare d'arrache-pied ses 2 anniversaires entre potes. Un premier anniversaire ce samedi, entre mecs, pour faire du karting. Et un autre anniversaire dans 10 jours, une Pyjama Party mi boum mi animations diverses, cette fois avec des filles, histoire de faire le beau au milieu de son "harem".
Si ça, c'est pas avoir grandi, je n'y comprends plus rien. Un anniversaire entre mecs, parce qu'il a bien compris où est sa place. Et un autre anniversaire avec les filles...parce qu'il n'oublie pas de séduire et de plaire.
Un vrai petit ado en puissance...à 7 ans.
Ça promet !
Je vous raconte tout ça dans quelques jours et vous écrirai un billet "pratique" pour organiser ce genre d'anniversaire...d'abord je fais mes preuves...et ensuite je vous en parle.
Il a donc 7 ans demain, et c'est un véritable plaisir "des yeux" de le voir grandir parce qu'il nous étonne chaque jour, il ravit notre quotidien et nous fait énormément marrer. Il est bien dans ses pompes et nous le prouve au quotidien. Quelle belle réussite ! Mais c'est une peine "du cœur" de le voir s'échapper un peu plus chaque jour...(mais ça, vous le savez déjà).
7 ans... et 2 anniversaires se préparent ...
je vous raconte tout bientôt !
Chouette récit! Oui ils grandissent trop vite nos bébés! 7ans c'est un cap! L'âge de raison.... un petit deuz ou vous vous arrêtez la? Elo
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